A partir du XVIIe siècle, Asnières-sur-Vègre connait un essor économique important dû aux richesses de son sous-sol. Son marbre, gris veiné de blanc et de rose, était très estimé, et exploité jusqu’au XVIIIe siècle. Au XIXe siècle, les mines d’anthracite permettent de fournir en combustible les fours à chaux. La commune connaît alors une réelle prospérité et s’étend vers l’Est avec de nouvelles constructions.