Ce tuffeau est ainsi commercialisé à une large échelle, notamment par le biais de la marine de Loire. On trouve ainsi mention de pierres de cette carrière dans les marchés de construction du château de Serrant (1671), de l'église Saint-Vincent du Mans (1686), de Notre-Dame des Ardilliers (1690), etc. L'expansion urbaine des XVIIIe et XIXe siècles fut aussi un vaste débouché pour ces blocs de tuffeau extraits à Montsoreau.éveloppement à la rencontre de la Loire fluviale et de la Loire maritime.
Une nouvelle vocation
Avec le déclin de l’activité, les galeries plus profondes furent aussi investies, en particulier dès le début du XXe siècle pour l’activité de champignonnistes, que deux entreprises pratiquent encore au Saut-aux-Loups. Plus récemment, des formes de mise en valeur commerciale de ces carrières sont apparues : restauration et accueil touristique, sur le site de la champignonnière du Saut-aux-Loups, mais aussi un négoce de vin, chemin dit des Caves.
Pour en découvrir plus sur l’historique de l’ancienne carrière, consultez le dossier d’inventaire en ligne.